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On vit une epoque formidable ! |
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Qu'est-ce donc qu'il y a sur cette page ? C'est pas terriblement compliqué : Pater Auster, un bon ami a moi (je compte parmi les pénibles temporairement supportables dans son classement personnel), et moi partageons le même amour pour 'la chronik a machin' de Zipiz. Or le fait est qu'un jour, alors que nous devisions tendrement comme c'est notre habitude sur le forum zombi, le sujet s'étendit sur l'aspect passionnant de son travail qui n'entrais en compétition au niveau intérêt et défit intellectuel qu'avec les disciplines du plus haut niveau de complexité telle que le rembourrage de coussins de Renault 8 ou la fabrication et vente de maison pour tourterelle dans les environs des soixantième rugissants. Le fait est qu'il est assez fort en sémantication acerbe, le Pater Auster, et que personnellement et bien cela ne me déplait pas. Aussi me suis-je mis littéralement à genoux devant mon ordinateur et ai sacrifié l'intégrité du textile précieux qui compose la partie de mon jean recouvrant mes genoux douillets à la gourmandise incalculable du mélange douteux de produits chimiques recouvrant le sol d'un labo de biologie standard comme l'est celui dans lequel je gâche ma jeunesse dans l'espoir ô combien incertain d'acquérir ce titre que l'on voudrait fameux mais qui en vérité je vous le dis ne vaut que la raison de se bourrer la gueule qu'il représente vraiment une fois que vous l'avez entre les mains une bonne fois pour toute, je parle bien sûr de celui de docteur. A genoux disais-je donc, et bien oui. Car il faut au moins ça, et bien plus même mais les détails ne sont pas de ceux que l'on raconte en public, aussi solliciteux pour mon public sois-je, pour convaincre le Pater Auster de décrocher de son travail à l'importance dantesque ne cédant la première place sur l'échelle des boulots indispensables qu'à la vente d'eau minéral dans la banlieue Moscovite afin de consacrer quelques précieuse secondes de son indispensable temps à la concoction de lignes juteuses pour le plus grand plaisir des grands et des petits fanatiques de bons mots qui sont parmi nous je le sais je l'ai lu dans un livre. Voici donc, ami lecteur, le résultat de cet entortillage de neurones, de cette gymnastique intellectuel de haut vol faisant en comparaison paraître les acrobaties du Rafalle au plus clair que sa forme et piloté par un génie comme autant de frivolités d'enfants à peine sevré que l'on regarde d'un oeil bienveillant en pensant aux jambes longues, très longues, de la maîtresse qui lui apprend à compter dans l'espoir tellement plus incertain que le mien d'avoir ce putain de doctorat de le rendre plus intelligent et d'en faire quelqu'un de bien et pas un de ses mollusque qui peuple notre triste monde tragique. Tout nouveau, tout chaud, et enexclusivité mondiale, voici mesdames et messieurs, devant vos yeux ebahis, que vous ai révélé non pas la vrai identité dde l'urluberlu qui se cache derrière ce mystérieux pseudo de Pater Auster, mais bel et bien sa bobien a lui qu'il a ! Tout nouveau, tout chaud, et en exclusivité mondiale, voici mesdames et messieurs, devant vos yeux ebahis, que vous est révélé non pas la vrai identité de l'urluberlu qui se cache derrière ce mystérieux pseudo de Pater Auster, mais bel et bien sa bobien a lui qu'il a !
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Tout comme moi pour mes passages, Pater Auster s'est amusé a collecté des petits bouts d'oeuvres, utilisables en toutes occasion pour donner une dimension légendaire à vos conversations.
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Et apres un long temps d’absence, le retour du pater ! |
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Et il nous a fait un petit ! (enfin une petite, vue la grammaire, parfois oubliee du reste) |
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